Besoins de l’industrie des batteries LFP en Amérique du Nord
Grande pureté, source éthique, faible empreinte carbone
Les phosphates nord-américains provenant de dépôts sédimentaires contiennent des métaux lourds tels que le cadmium et l'uranium.
Les méthodes actuelles de traitement des phosphates sont adaptées à l'industrie des engrais.
Les gisements sédimentaires ne sont pas envisageables pour l'industrie des batteries LFP, car seule une petite partie peut être raffinée jusqu'à l'acide phosphorique ultra pur et, même dans ce cas, de grands tas de scories radioactives sont créés.
Source d'approvisionnement constante intégrée à la R&D et à la production
L'industrie nord-américaine des batteries LFP doit combler l'écart avec les principaux producteurs mondiaux asiatiques grâce à une R&D avancée et conforme aux normes ESG.
Les processus asiatiques ne peuvent pas être facilement reproduits en Amérique du Nord car ils sont interdits sur le plan environnemental.
Les producteurs nord-américains de batteries LFP auront besoin d'un approvisionnement dédié, traçable, en matériaux phosphatés essentiels pour batteries de haute pureté, afin de les intégrer directement dans leurs fonctions de R&D et leurs processus de fabrication.
Approvisionnement en phosphate dédié pour l’Amérique du Nord
La plupart des phosphates nord-américains sont destinés à la distribution d'engrais verticale, dans un contexte d'offre déjà serrée.
L'approvisionnement étranger en phosphate provient de régions instables comme la Russie, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient.
L’industrie nord-américaine des batteries LFP exige la production de phosphate de la plus haute pureté, selon les normes ESG, provenant d’une source de phosphate propre qui peut facilement produire une quantité abondante d’acide phosphorique pur.
Nécessite une source de matière pour batteries au phosphate qui soit hautement constante, sûre, traçable, axée sur la R&D et intégrée aux chaînes d'approvisionnement.
Les crédits par le gouvernement américain pour les VÉ exigent que 40 % des matériaux des batteries des VÉ proviennent des États-Unis ou de pays signataires de l’accord de libre-échange. Cette exigence passera à 80 % d’ici 2027.
La chaîne de valeur des batteries LFP commence avec une source d’extraction de haute pureté
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